Leipziger Witzkultur
Briefgedichte
(An die Schwester Cornelia, 13. 10. 1767)
(...) Manchmal mach' ich Madrigals, und das sind meistenteils Naivetäten von meinem Mädgen und Freunden.
Z. E.
Le veritable Ami
Va te sevrer des baisers de ta belle,
Me dit un jour l'ami; par son air sedouisant,
Ses yieux perçans, par son tein eclatant,
Sa taille mince, son language amusant,
Elle te pourroit bien deranger la cervelle; 5
Fuis de cette beaute de dangereux amour!
Mais pour te faire voir a quel degré je t'aime,
Je veux t'oter tout espoir du retour,
En m'en faisant aimer moi meme.
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